Permis B, B78, AAC, CS, Post permis


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LA FORMATION THÉORIQUE PORTE SUR LA CONNAISSANCE DES RÈGLEMENTS CONCERNANT LA CIRCULATION ET LA CONDUITE D’UN VÉHICULE AINSI QUE SUR LE COMPORTEMENT DU CONDUCTEUR.

Les cours sont dispensés, dans les locaux de l’école de conduite, par un enseignant de la conduite 
et de la sécurité routière titulaire d’une autorisation d’enseigner en cours de validité.

L’entraînement au code est suivi :
dans les locaux de l’école de conduite avec un support média, 
dans les locaux de l’école de conduite avec un enseignant, 
via un entrainement en distanciel sur internet 

La formation théorique porte sur :
 
• Les dispositions légales en matière de circulation routière.
• Le conducteur : les effets dus à une consommation d’alcool, de drogues et de médicaments sur la conduite, l’influence de la fatigue sur la conduite, la pression sociale (publicité, travail...) et la pression des pairs, etc.
• La route : les risques liés aux conditions météorologiques et aux états de la chaussée, etc. 
• Les autres usagers de la route : la vigilance et les attitudes à l’égard des autres usagers, les usagers vulnérables, les spécificités de certaines catégories de véhicules et les différentes conditions de visibilité de leurs conducteurs, etc. 
• La réglementation générale : le transport d’un chargement et de personnes, la réglementation relative à l’obligation d’assurance et aux documents administratifs liés à l’utilisation du véhicule.
• Les gestes de premiers secours.
• Les précautions nécessaires à prendre en quittant le véhicule.
• Les éléments mécaniques et autres équipements liés à la sécurité.
• Les équipements de sécurité des véhicules.
• Les règles d’utilisation du véhicule en relation avec le respect de l’environnement
LA FORMATION PRATIQUE PORTE SUR LA CONDUITE D’UN VÉHICULE ET SUR LA SENSIBILISATION AUX DIFFÉRENTS RISQUES DE LA ROUTE. 
Les 4 compétences et les compétences associées ci-dessous sont enseignées et doivent être acquises en fin de formation. 

Elles sont traitées en abordant les points suivants : le pourquoi, le comment, les risques, les influences de l’entourage et du mode de vie de l’élève, les pressions exercées par la société telles que la publicité, le travail, l’auto-évaluation. 


Conduite accompagnée

Avant de pouvoir conduire avec l’accompagnateur, l’élève doit suivre une formation initiale qui comprend :

  • une évaluation préalable d’une heure ;
  • une formation théorique sur les enjeux de la sécurité routière et permettant de préparer l’épreuve théorique générale dite épreuve du code 
  • une formation pratique (cours de conduite) dont la durée ne peut être inférieure à 20 heures.
Une fois l’examen du code obtenu, et lorsque le niveau de conduite est jugé satisfaisant par l’enseignant de la conduite et de la sécurité routière, après au moins 20 heures de formation obligatoire (ou davantage si l’enseignant le juge nécessaire), l’enseignant délivre à l’élève une attestation de fin de formation initiale (AFFI). 
Celle-ci prouve que l’élève a atteint le niveau nécessaire et indispensable pour commencer la conduite avec un accompagnateur. Il doit notamment savoir :

  • maîtriser le véhicule à allure lente ou modérée, le trafic étant faible ou nul ;
  • choisir sa position sur la chaussée, franchir une intersection ou changer de direction ;
  • circuler dans des conditions normales sur route et en agglomération ;
  • connaître les situations présentant des difficultés particulières.
Cette attestation est consignée dans le livret d’apprentissage de l’élève. Elle est aussi remise à la compagnie d’assurance du candidat, car elle est indispensable pour commencer la conduite accompagnée.

Conduite supervisée
La conduite supervisée permet au candidat âgé de 18 ans au minimum, inscrit dans une école de conduite, de compléter sa formation initiale par une phase de conduite «supervisée» par un accompagnateur, afin de passer l’épreuve pratique dans des conditions plus sereines. Cette forme d’apprentissage est plus souple que l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC), mais possède des avantages similaires.
On peut choisir la conduite supervisée :
  • soit avant le passage de l’épreuve pratique (au moment de l’inscription à l’auto-école ou à tout moment de la formation) ; 
  • soit après un échec à l’épreuve pratique.
Pour y accéder : 
au moment de l’inscription à l’auto-école ou à tout moment de la formation
  • Il faut :avoir réussi le code de la route ; 
  • avoir suivi une formation pratique avec un enseignant de l’école de conduite (20 heures minimum) ; 
  • avoir bénéficié d’une évaluation favorable de la part de son enseignant de la conduite et de la sécurité routière et obtenu l’attestation de fin de formation initiale (AFFI) figurant en annexe du livret d’apprentissage, définie par arrêté du ministre chargé de la sécurité routière ;
Cette période débute par un rendez-vous préalable qui a lieu en présence de l’enseignant de la conduite, de l’élève et du futur accompagnateur. L’enseignant dispense alors ses conseils aux deux parties pour bien commencer la période de conduite supervisée.

Rendez vous Post Permis


Les stages post-permis et réduction de la période probatoire (100Euros tous les samedi)


À partir du 1er janvier 2019, les titulaires d’un premier permis de conduire qui auront suivi une formation complémentaire « post-permis » bénéficieront d’une réduction du délai probatoire.


Pourquoi la création d’un tel dispositif ?

En 2020, les conducteurs novices ont été impliqués dans un quart des accidents de la route ayant entraîné des blessures ou la mort ; près de 500 d’entre eux y ont perdu la vie.

Au cours des six premiers mois après l’obtention du permis de conduire, il existe un pic d’accidents chez les conducteurs novices.

Le risque d’être impliqué dans un accident mortel est multiplié par 2 dans les trois premiers mois et par 1,5 dans les trois mois suivants.

En cause ? Un sentiment de surpuissance dans les mois qui suivent l’obtention du permis de conduire.

L’objectif de la formation post-permis est de susciter chez les conducteurs novices un processus de réflexion sur leurs comportements au volant et leur perception des risques au moment où ils acquièrent davantage d’assurance.


Quand prend-il effet ?

La réduction de la période probatoire à l’issue d’un stage post-permis sera mise en place à partir du 1er janvier 2019, conformément à la décision du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) du 2 octobre 2015 (mesure D17).

Cette formation complémentaire s’adresse donc exclusivement aux titulaires d’un premier permis de conduire (A1, A2, B1, B ou BEA) entre les 6e et 12e mois qui suivent son obtention, ni avant, ni après.

Le décret 2018-715 paru au Journal officiel du 3 août 2018 introduit dans le code de la route la possibilité d’une formation post-permis exclusivement réservée aux conducteurs novices.


Une formation certifiée dans une école de conduite labellisée


La formation sera dispensée uniquement par les écoles de conduite détentrices d’un label « qualité », délivré par les services de l'État garantissant la qualité de sa formation.

La formation sera collective afin de permettre un maximum d’échanges sur les expériences de conduite entre les conducteurs d’une même génération. Sa durée est limitée à une seule journée (7 heures).

Un enseignant de la conduite spécialement formé sera responsable de l’animation de chacune de ces journées. Le contenu de la formation, élaboré par des spécialistes de la sécurité routière, fera l’objet d’un arrêté pour garantir un programme de formation homogène sur tout le territoire.

Réduction de la période probatoire Depuis 2003, le permis de conduire est probatoire et doté d’un capital de 6 points à son obtention. Une période de 3 années durant lesquelles le permis est crédité de 2 points tous les ans est indispensable pour que le conducteur gagne en maturité et obtienne ses 12 points. Cette période probatoire est réduite à deux ans pour ceux qui ont opté pour la conduite accompagnée (apprentissage anticipé de la conduite pour la catégorie B). Ainsi, lorsque la formation post-permis sera suivie, la période probatoire se verra réduite de 3 à 2 ans pour le titulaire d’un permis B traditionnel et de 2 ans à 1 an et demi pour un novice qui aura suivi l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC) pour la catégorie B. 



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